Il a été dessiné par l’architecte local M. Castéra et réalisé en 1908 par un artisan vicois M. Carsalade (tous les éléments sont assemblés par rivetage et les volutes de diverses formes modelées à la forge et sur gabarits).
Il avait été financé par un don de la famille de Coste (une plaque de marbre le rappelle). Il occupe l’ancien emplacement de la halle moyenâgeuse construite en 1426 et démolie en 1886.
Pour la petite histoire, rappelons que Vic avait à une époque deux musiques : la Lyre Fezensacaise rassemble à ses pupitres les musiciens républicains; la Philharmonique, la Sainte Cécile compte dans ses rangs les Bonapartistes.
Sous la mandature du maire , la Lyre Fezensac aise bénéficie de tous les avantages, la Sainte Cécile boude et refuse de jouer au kiosque, elle s’installe pour donner ses concerts sous les arceaux. La guerre de 1914 a sans doute rapproché les hommes par le malheur qui a frappé tous les villages et les deux musiques se réunissent pour former l’Union Vicoise.
Une plaque commémorative à l’attention de Julie Saint Avit est apoosée sur le kiosque
Le 4 juillet 1944 , à Vic-Fezensac, ferme de “Laouarde”, un détachement de la Feldgendarmerie qui s’est livré à une fouille des lieux, arrête, en l’absence de son mari, Madame Julie SAINT-AVIT.
Le 10 juillet , elle est transférée à Toulouse puis déportée à Ravensbrück.
En avril 1945, elle sera rapatriée par les soins de la Croix-Rouge. Mais elle décède peu après à Sens dans l’Yonne.
Elle faisait partie des résistants organisation clandestine qui luttait contre la milice organisation politique crée par le régime de Vichy dirigé par le maréchal Petain qui collaborait avec l’Allemagne Nazie
Pour la petite histoire, rappelons que Vic avait à une époque deux musiques : la Lyre Fezensacaise rassemble à ses pupitres les musiciens républicains; la Philharmonique, la Sainte Cécile compte dans ses rangs les Bonapartistes.
Sous la mandature du maire , la Lyre Fezensac aise bénéficie de tous les avantages, la Sainte Cécile boude et refuse de jouer au kiosque, elle s’installe pour donner ses concerts sous les arceaux. La guerre de 1914 a sans doute rapproché les hommes par le malheur qui a frappé tous les villages et les deux musiques se réunissent pour former l’Union Vicoise.
Une plaque commémorative à l’attention de Julie Saint Avit est apoosée sur le kiosque
Le 4 juillet 1944 , à Vic-Fezensac, ferme de “Laouarde”, un détachement de la Feldgendarmerie qui s’est livré à une fouille des lieux, arrête, en l’absence de son mari, Madame Julie SAINT-AVIT.
Le 10 juillet , elle est transférée à Toulouse puis déportée à Ravensbrück.
En avril 1945, elle sera rapatriée par les soins de la Croix-Rouge. Mais elle décède peu après à Sens dans l’Yonne.
Elle faisait partie des résistants organisation clandestine qui luttait contre la milice organisation politique crée par le régime de Vichy dirigé par le maréchal Petain qui collaborait avec l’Allemagne Nazie