Vic-Fezensac, connue pour ses férias de la Pentecôte et son festival Tempo Latino au mois de juillet.
La préhistoire :
à Vic, des traces du Néolithique (8000 à 5000 av. JC) ont été découvertes sur le site de Saint Jean de Castets (Route de Riguepeu).
La période antique :
A l’époque romaine, une station routière « Besino », à l’emplacement de l’actuel cimetière, est une étape entre « Elimberris » (Auch) et « Eluza » (Eauze).
Le moyen âge
A l’époque mérovingienne, toujours au même emplacement, « le Masviel » est la première installation du Vic ancien. Après les invasions barbares, est établi un « Vicus », village non défendu par des murs. Lieu et site donnent naissance à un bourg nommé d’abord « Fidentia » du nom du propriétaire gallo-romain Fidentius qui devient par la suite « Fezensac ». Le « Vic-Fezensac » est né. Il se présente sous forme bipolaire : le castelnau autour du château comtal au sud de la ville actuelle, et la sauveté autour de l’église plus au nord. Les foires se tiennent sur le terrain vague laissé libre entre les deux. Sauveté et castelnau se regroupent au XIVe siècle pour former une seule ville dans laquelle on entre par huit portes. Entre relégation et agrandissement, Vic se retrouve avec quatre nouveaux quartiers : quartier des Capots, quartier de l’hôpital Saint-Jacques au bord de l’Osse, quartier de la Porte-Dessus et quartier du Barry (faubourg de l’au-delà de l’Osse).
La période moderne :
Au XVe siècle la ville est déjà divisée en six quartiers et en 1426, une halle est construite au milieu du champ de foire (halle démolie en 1866, faisant place en 1908 au kiosque à musique). Au XVIIIe siècle, l’intendant d’Etigny construit la route reliant Toulouse à Bayonne, modifiant le cours de l’Osse et la physionomie de la ville ancienne.
L’époque contemporaine :
Les XIXe et XXe siècles apportent à Vic de nouveaux quartiers, de nouvelles voies de communication et des infrastructures dans tous les domaines. Cela n’a pu se faire sans entraîner des destructions.
Le visiteur attentif peut découvrir, disséminés dans la ville, des monuments ou traces d’un passé chargé d’histoire.
Le patrimoine religieux :
1 – L’église Saint-Pierre
Elle est située à l’emplacement de l’église primitive établie dès le IVe siècle, rebâtie vers 1190 et remaniée au fil des siècles notamment au début du XVIIe. On peut y admirer le maître-autel de Saint-Pierre aux belles colonnes de marbre rouge (1757), l’autel de Saint Joseph avec son retable de 1826, l’autel de Notre-Dame-de-Pitié (1680), les vitraux art déco (côtés nord et
sud de la nef) dûs au maître verrier parisien Raphaël Lardeur (1936), les fonds baptismaux taillés dans un seul bloc de marbre classés monument historique, le grand orgue (1858), la magnifique charpente en bois en forme de carène inversée datant du XVIIe siècle. Une fresque du XIVe siècle orne la coupole et les murs de l’absidiole sud. Il n’y aurait pas moins de quinze variétés de marbre dans cette église.
2 – La Tour du Chapitre
Du chapitre, qui existait avant 1089, ne reste que la tour carrée et inachevée reconstruite au XVe siècle qui a remplacé le cloître primitif du XIIe. Le visiteur doit emprunter la rue du Triomphe pour apercevoir sur la façade est dans sa partie supérieure, des fenêtres trilobées et gémellées et, en son milieu, des fenêtres à meneaux.
4 – Le couvent des Cordeliers
A quelques pas du château comtal, fin XIVe, Jean III comte d’Armagnac fait édifier le bâtiment dont on voit encore le clocher et la porte ogivale de la chapelle de l’ancien hôpital rural
(fondé par Albert Deluc au début du XXe). Des pierres de sépultures gravées du XVIIe siècle sont encastrées ça et là dans les murs. à l’intérieur, au dessus de l’autel se trouve un groupe sculptural en stuc représentant l’Assomption et offert en 1833 par le chevalier de Rivière. (On ne peut actuellement visiter l’intérieur de la chapelle pour des raisons de sécurité).
5 – Le couvent des Capucins
Devient au milieu du XVIIIe siècle un bâtiment important construit avec les pierres de l’ancien château. Vendu comme bien national, il abrite aujourd’hui logements et commerces.
6 – Le monastère Notre-Dame
Construit par les Prémontrés au XIIe siècle, il a été le premier hôpital de Vic, refuge des pèlerins et des pauvres. Le domaine servit de grange puis a été transformé en château au XVIIIe siècle (propriété privée). Sur la porte de la chapelle on voit de beaux chapiteaux datant du XIVe et, en face, sur les murs du château, deux ouvertures à ogives trilobées, gémellées de style gothique rayonnant de la même époque. (Récupération de l’église du Haut Maguit).
7 – Les Croix
Croix en fer forgé à côté de l’église; Croix de la Vierge en pierre à Carboire sur la D35 ; Croix de carrefour de la Glacière en tuf dédiée au Sacré-Coeur (1802); Croix de Goulin en pierre.
8 – Le vieux cimetière
Belles tombes caractéristiques de chaque époque érigées par des particuliers ou des vicois célèbres dont la tombe du docteur Delucq (maire de Vic de 1904 à 1944) surmontée d’un sphinx.
Le patrimoine civil
9 – Les arènes
Elles portent le nom de Joseph Fourniol qui, avec Alfred Degeil (Aguillita), a été le pionnier de l’aficion vicoise. Dans le callejon, à droite de la présidence, une plaque porte l’inscription suivante : « à la mémoire d’Aguillita dont le culte pour le toro de lidia a permis de faire de la petite plaza de Vic une grande plaza française ». Le visiteur est accueilli par une statue grandeur nature (1990) représentant le torero Ruiz Miguel devant un toro de Victorino Martin. Une plaque honorant la mémoire du président Jean- Jacques Baylac est apposée au patio de sorteo depuis Pentecôte 2011.
Les arènes sont le lieu privilégié pour diverses manifestations (corridas, courses landaises, concerts, festival, etc.)
10 – La tour Saint-Jacques
La Tour St Jacques ou tour du Barry, seul vestige de l’hôpital Saint- Jacques, renferme un escalier de pierre gironné du milieu du XVe (non visible pour l’instant) et présente des fenêtres en accolades de la même époque.
11 – Le kiosque
Situé à l’emplacement de l’ancienne halle et dessiné par l’architecte local M.Castéra, il a été réalisé par M.Carsalade artisan vicois et a été inauguré en 1908.
12 – Les ponts
Celui d’Etigny en pierre (1759), le pont Notre-Dame construit avant la révolution sur l’ancienne voie romaine et le pont « façon Eiffel » (1897), pont métallique sur le tracé de l’ancien hôpital enjambant l’Osse. Celui de la Teulère (1909), pont de la Glacière (1908), viaduc Notre-Dame (il ne reste que deux arches sur cinq), privé et tunnel de l’Argenté (privé).
13 – Les lavoirs
Sur les 9 lavoirs bâtis au milieu du XIXe siècle, seuls 3 ont été sauvés : le lavoir de « Pétopaou » (privé), le lavoir de Goulin et le lavoir de « La Glacière » tel qu’il était à l’origine.
14 – Les puits et les fontaines
Il existe des puits publics : au camin de la Halhera, rue du puits au Barry. A Vic, l’approvisionnement en eau a été de tout temps un problème majeur. En 1953 avec la fin des travaux d’adduction d’eau, les fontaines sont peu à peu délaissées.
On peut voir celles de Goulin, de Saint Pierre, de la place G.Séailles, de la rue des Cordeliers.
15 – L’ancienne tour
Tour des fortifications, construite au XIVe siècle, démolie lors de la construction de la nouvelle mairie (un pan de mur est visible derrière celle-ci).
16 – Les maisons de quartier
Du moyen âge, restent quelques maisons à colombages et pour certaines en encorbellement au dessus de la rue : les « carrelots », encore nombreux à Vic et portant des noms imagés en gascon. Au XVesiècle, il n’est plus permis d’empiéter sur la place centrale appartenant à la communauté mais de 1582 à 1648 les consuls autorisent la construction de maisons à arcades et cornières constituant une garlande qu’on appelle à Vic « les arceaux ».
Au XIXe siècle, longeant la rue de la République, sont construites les belles maisons en pierre avec leur balcon en fonte ou fer forgé.
17 – Les maisons chargées d’Histoire
La maison où a dormi Louis XIV en route vers St Jean de Luz pour s’y marier en 1660 (7 rue Henri Rougeon); La maison Cassaignolles du nom d’une famille de notables vicois qui a donné de grands serviteurs de l’état (29 rue Cassaignolles); L’ancienne école secondaire Dumestre (rue Lebbé Frères); La maison au n°10 Place Julie Saint Avit sous les arceaux avec ses vestiges du château comtal.
18 – Le monument aux morts
Situé à côté de l’église, inauguré en 1924, est un bas-relief de Malric d’une grande humanité, enraciné dans le contexte local.
19 – La statue de Zadkine
« Le messager » : Cette oeuvre, placée à l’intérieure de la Mairie de Vic, trône sur un socle en pierre blasonné aux armoiries de Paris et de Vic.
20 – Mobilier exposé à la mairie
Une vingtaine d’oeuvres picturales ; des statues ; une cloche civile fondue à Vic en 1509 « sélectionnée par le musée campanaire pour être exposée à Pékin en 2005 ».
21 – Les châteaux vicois
Notre-Dame, Bautian, Le Boutet, Carget, Gimat, et Le Pimbat route d’Auch qui se visite sur RDV.
Pour l’amateur d’histoire et le curieux, la liste dressée est loin d’être exhaustive et demande sans cesse à être complétée.
Sources :
– Zacharie Baqué, « Histoire de Vic »
– « Vic-Fezensac, des siècles d’Histoire » (Section locale de la Société Archéologique du Gers)
– Archives de la commune (peuvent être consultées à la mairie)
à Vic, des traces du Néolithique (8000 à 5000 av. JC) ont été découvertes sur le site de Saint Jean de Castets (Route de Riguepeu).
La période antique :
A l’époque romaine, une station routière « Besino », à l’emplacement de l’actuel cimetière, est une étape entre « Elimberris » (Auch) et « Eluza » (Eauze).
Le moyen âge
A l’époque mérovingienne, toujours au même emplacement, « le Masviel » est la première installation du Vic ancien. Après les invasions barbares, est établi un « Vicus », village non défendu par des murs. Lieu et site donnent naissance à un bourg nommé d’abord « Fidentia » du nom du propriétaire gallo-romain Fidentius qui devient par la suite « Fezensac ». Le « Vic-Fezensac » est né. Il se présente sous forme bipolaire : le castelnau autour du château comtal au sud de la ville actuelle, et la sauveté autour de l’église plus au nord. Les foires se tiennent sur le terrain vague laissé libre entre les deux. Sauveté et castelnau se regroupent au XIVe siècle pour former une seule ville dans laquelle on entre par huit portes. Entre relégation et agrandissement, Vic se retrouve avec quatre nouveaux quartiers : quartier des Capots, quartier de l’hôpital Saint-Jacques au bord de l’Osse, quartier de la Porte-Dessus et quartier du Barry (faubourg de l’au-delà de l’Osse).
La période moderne :
Au XVe siècle la ville est déjà divisée en six quartiers et en 1426, une halle est construite au milieu du champ de foire (halle démolie en 1866, faisant place en 1908 au kiosque à musique). Au XVIIIe siècle, l’intendant d’Etigny construit la route reliant Toulouse à Bayonne, modifiant le cours de l’Osse et la physionomie de la ville ancienne.
L’époque contemporaine :
Les XIXe et XXe siècles apportent à Vic de nouveaux quartiers, de nouvelles voies de communication et des infrastructures dans tous les domaines. Cela n’a pu se faire sans entraîner des destructions.
Le visiteur attentif peut découvrir, disséminés dans la ville, des monuments ou traces d’un passé chargé d’histoire.
Le patrimoine religieux :
1 – L’église Saint-Pierre
Elle est située à l’emplacement de l’église primitive établie dès le IVe siècle, rebâtie vers 1190 et remaniée au fil des siècles notamment au début du XVIIe. On peut y admirer le maître-autel de Saint-Pierre aux belles colonnes de marbre rouge (1757), l’autel de Saint Joseph avec son retable de 1826, l’autel de Notre-Dame-de-Pitié (1680), les vitraux art déco (côtés nord et
sud de la nef) dûs au maître verrier parisien Raphaël Lardeur (1936), les fonds baptismaux taillés dans un seul bloc de marbre classés monument historique, le grand orgue (1858), la magnifique charpente en bois en forme de carène inversée datant du XVIIe siècle. Une fresque du XIVe siècle orne la coupole et les murs de l’absidiole sud. Il n’y aurait pas moins de quinze variétés de marbre dans cette église.
2 – La Tour du Chapitre
Du chapitre, qui existait avant 1089, ne reste que la tour carrée et inachevée reconstruite au XVe siècle qui a remplacé le cloître primitif du XIIe. Le visiteur doit emprunter la rue du Triomphe pour apercevoir sur la façade est dans sa partie supérieure, des fenêtres trilobées et gémellées et, en son milieu, des fenêtres à meneaux.
4 – Le couvent des Cordeliers
A quelques pas du château comtal, fin XIVe, Jean III comte d’Armagnac fait édifier le bâtiment dont on voit encore le clocher et la porte ogivale de la chapelle de l’ancien hôpital rural
(fondé par Albert Deluc au début du XXe). Des pierres de sépultures gravées du XVIIe siècle sont encastrées ça et là dans les murs. à l’intérieur, au dessus de l’autel se trouve un groupe sculptural en stuc représentant l’Assomption et offert en 1833 par le chevalier de Rivière. (On ne peut actuellement visiter l’intérieur de la chapelle pour des raisons de sécurité).
5 – Le couvent des Capucins
Devient au milieu du XVIIIe siècle un bâtiment important construit avec les pierres de l’ancien château. Vendu comme bien national, il abrite aujourd’hui logements et commerces.
6 – Le monastère Notre-Dame
Construit par les Prémontrés au XIIe siècle, il a été le premier hôpital de Vic, refuge des pèlerins et des pauvres. Le domaine servit de grange puis a été transformé en château au XVIIIe siècle (propriété privée). Sur la porte de la chapelle on voit de beaux chapiteaux datant du XIVe et, en face, sur les murs du château, deux ouvertures à ogives trilobées, gémellées de style gothique rayonnant de la même époque. (Récupération de l’église du Haut Maguit).
7 – Les Croix
Croix en fer forgé à côté de l’église; Croix de la Vierge en pierre à Carboire sur la D35 ; Croix de carrefour de la Glacière en tuf dédiée au Sacré-Coeur (1802); Croix de Goulin en pierre.
8 – Le vieux cimetière
Belles tombes caractéristiques de chaque époque érigées par des particuliers ou des vicois célèbres dont la tombe du docteur Delucq (maire de Vic de 1904 à 1944) surmontée d’un sphinx.
Le patrimoine civil
9 – Les arènes
Elles portent le nom de Joseph Fourniol qui, avec Alfred Degeil (Aguillita), a été le pionnier de l’aficion vicoise. Dans le callejon, à droite de la présidence, une plaque porte l’inscription suivante : « à la mémoire d’Aguillita dont le culte pour le toro de lidia a permis de faire de la petite plaza de Vic une grande plaza française ». Le visiteur est accueilli par une statue grandeur nature (1990) représentant le torero Ruiz Miguel devant un toro de Victorino Martin. Une plaque honorant la mémoire du président Jean- Jacques Baylac est apposée au patio de sorteo depuis Pentecôte 2011.
Les arènes sont le lieu privilégié pour diverses manifestations (corridas, courses landaises, concerts, festival, etc.)
10 – La tour Saint-Jacques
La Tour St Jacques ou tour du Barry, seul vestige de l’hôpital Saint- Jacques, renferme un escalier de pierre gironné du milieu du XVe (non visible pour l’instant) et présente des fenêtres en accolades de la même époque.
11 – Le kiosque
Situé à l’emplacement de l’ancienne halle et dessiné par l’architecte local M.Castéra, il a été réalisé par M.Carsalade artisan vicois et a été inauguré en 1908.
12 – Les ponts
Celui d’Etigny en pierre (1759), le pont Notre-Dame construit avant la révolution sur l’ancienne voie romaine et le pont « façon Eiffel » (1897), pont métallique sur le tracé de l’ancien hôpital enjambant l’Osse. Celui de la Teulère (1909), pont de la Glacière (1908), viaduc Notre-Dame (il ne reste que deux arches sur cinq), privé et tunnel de l’Argenté (privé).
13 – Les lavoirs
Sur les 9 lavoirs bâtis au milieu du XIXe siècle, seuls 3 ont été sauvés : le lavoir de « Pétopaou » (privé), le lavoir de Goulin et le lavoir de « La Glacière » tel qu’il était à l’origine.
14 – Les puits et les fontaines
Il existe des puits publics : au camin de la Halhera, rue du puits au Barry. A Vic, l’approvisionnement en eau a été de tout temps un problème majeur. En 1953 avec la fin des travaux d’adduction d’eau, les fontaines sont peu à peu délaissées.
On peut voir celles de Goulin, de Saint Pierre, de la place G.Séailles, de la rue des Cordeliers.
15 – L’ancienne tour
Tour des fortifications, construite au XIVe siècle, démolie lors de la construction de la nouvelle mairie (un pan de mur est visible derrière celle-ci).
16 – Les maisons de quartier
Du moyen âge, restent quelques maisons à colombages et pour certaines en encorbellement au dessus de la rue : les « carrelots », encore nombreux à Vic et portant des noms imagés en gascon. Au XVesiècle, il n’est plus permis d’empiéter sur la place centrale appartenant à la communauté mais de 1582 à 1648 les consuls autorisent la construction de maisons à arcades et cornières constituant une garlande qu’on appelle à Vic « les arceaux ».
Au XIXe siècle, longeant la rue de la République, sont construites les belles maisons en pierre avec leur balcon en fonte ou fer forgé.
17 – Les maisons chargées d’Histoire
La maison où a dormi Louis XIV en route vers St Jean de Luz pour s’y marier en 1660 (7 rue Henri Rougeon); La maison Cassaignolles du nom d’une famille de notables vicois qui a donné de grands serviteurs de l’état (29 rue Cassaignolles); L’ancienne école secondaire Dumestre (rue Lebbé Frères); La maison au n°10 Place Julie Saint Avit sous les arceaux avec ses vestiges du château comtal.
18 – Le monument aux morts
Situé à côté de l’église, inauguré en 1924, est un bas-relief de Malric d’une grande humanité, enraciné dans le contexte local.
19 – La statue de Zadkine
« Le messager » : Cette oeuvre, placée à l’intérieure de la Mairie de Vic, trône sur un socle en pierre blasonné aux armoiries de Paris et de Vic.
20 – Mobilier exposé à la mairie
Une vingtaine d’oeuvres picturales ; des statues ; une cloche civile fondue à Vic en 1509 « sélectionnée par le musée campanaire pour être exposée à Pékin en 2005 ».
21 – Les châteaux vicois
Notre-Dame, Bautian, Le Boutet, Carget, Gimat, et Le Pimbat route d’Auch qui se visite sur RDV.
Pour l’amateur d’histoire et le curieux, la liste dressée est loin d’être exhaustive et demande sans cesse à être complétée.
Sources :
– Zacharie Baqué, « Histoire de Vic »
– « Vic-Fezensac, des siècles d’Histoire » (Section locale de la Société Archéologique du Gers)
– Archives de la commune (peuvent être consultées à la mairie)